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VIP-Blog de joli_coeur_10
  • 10 articles publiés
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  • Créé le : 05/07/2005 10:45
    Modifié : 06/07/2005 12:57

    Garçon (17 ans)
    Origine : taroudant
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    chofe oskoute

    05/07/2005 13:37

    chofe oskoute


    voici ma belle femme



     
     


     

    welcome

    05/07/2005 12:18

    welcome


    binvenue chez mabchour marouane(dima dima atlas) dans ce site:www.vip-blog.com/vip/blogs/joli_coeur_10.html   salut à tous les jeunes du maroc



     
     


     

    LE MAROC

    05/07/2005 11:47

    LE   MAROC


    Accueil           armoiries Maroc.gif (13877 octets)                        

     

    circuit_maroc.JPG (75240 octets)Coupé du reste du continent africain par les chaînes montagneuses de l'Atlas à l'est et par le désert du Sahara au sud, le Maroc est bordé par deux mers :

    La Méditerranée au Nord, l'Océan Atlantique à l'ouest, sa situation géographique le place parmi les plus beaux et les plus contrastés du continent : climat méditerranéen au nord, saharien dans le sud, atlantique à l'ouest.

    Sur l'ensemble du pays les périodes les plus propices au voyage sont le printemps et l'automne.

     

    VILLES IMPERIALES

     

    MARRAKECH

     

    Marrakech.JPG (66196 octets)Capitale du sud, vivante et riche de son histoire, offre aux touristes l'attrait de ses monuments et le charme de ses immenses jardins, son climat doux et sec et son atmosphère limpide,  la proximité du Haut Atlas qui en fait une excellente base d'excursion en montagne. Noeud d'échange, grand centre artisanal "Marrakech la Saharienne" ne ressemble à aucune des autres cités impériales.

    La Médina

    marrakech_muraille.JPG (34761 octets)Elle se cloisonne en quartiers selon la fortune, l'activité et l'origine de ses habitants.

    La visite d'une médina offre un spectacle étonnant : un enchevêtrement de venelles tortueuses, étroites, voûtées, très animées, dans lesquelles parfois on hésite à s'y engager de peur de s'y perdre

    On y trouve une zone commerçante : les souks - eux-mêmes compartimentés par métiers, et le Mellah, ancien quartier juif.

     

    Les Souks

     

    souks.JPG (16769 octets)Emplis à toute heure du jour d'un flot pressé de piétons, dans lequel, au cri répété de "balek" (attention), portefaix, âniers, cyclistes, se fraient un passage

    Les souks constituent la grande attraction de Marrakech, ils sont les plus beaux et les plus animés du Maroc. Les boutiques d'artisanat se succèdent : bijoux, articles de cuir, objets de fer forgé, babouches, tapis, céramiques, textiles, épices et fruits secs.

    Le visiteur étranger y est très sollicité.

     

    La place Djemaa El F'na

     

    Marrakech_la_place_djemaa_el_fna.JPG (78948 octets)A l'entrée des souks cette vaste place est un lieu d'échange entre l'extérieur et la médina dont elle en est le coeur.

    De jour comme de nuit il y règne une intense animation

    En fin d'après-midi, acrobates, charmeurs de serpents, danseurs, musiciens, conteurs, gargotiers occupés à préparer les beignets ou à faire griller des saucisses, des merguez et des brochettes, s'emparent de la place qui s'éclaire de nombreuses lampes à gaz scintillant d'une lumière très blanche. La foule accoure, attirée par le bruit, ceux qui ont faim pourront s'installer sur les bancs en plein air des bouis-bouis qui enfument toute la place.Marrakech_la_place_et_les_fumees.JPG (79609 octets)

    De la terrasse du café de France ou du café Argana qui bordent la place, on embrasse du regard l'extraordinaire fourmillement de la foule bigarrée ; c'est un ravissant spectacle.

     

    Le Tour des Remparts

     

    Marrakech_les_remparts_et_le_Ht_atlas.JPG (49867 octets)Cette célèbre enceinte construite en 1132, développe autour de la ville, 19 km de murailles, de couleur rose, ocre et rouge, flanquées de 202 tours carrées et percées de 9 portes.

    La porte Bab Ahmar (la porte rouge) débouche sur le Palais Royal, cette porte est close quand le roi réside à Marrakech

     

    La Ménara

     

    Marrakech_la_menara.JPG (65333 octets)Dotée d'un bon système d'irrigation, elle est exploitée comme verger - Le grand bassin, bordé à fleur d'eau par un promenoir, reflète un élégant pavillon encadré de cyprès, avec, en toile de fond, les sommets de l'Atlas

     

     

    Les Tombeaux Saadiens

     

    tombeaux_saadiens.JPG (17784 octets)La nécropole qui joute la mosquée de la Kasbah, abrite les dépouilles des 13 sultans sahadiens et de leurs proches - 70 personnes reposent dans cet étroit jardin

    Le mausolée principal est séparé de la rue par un long couloir sombre

    La salle centrale dite "salle aux douze colonnes" richement décorée, renferme les tombeaux d'Ahmed El Mansour, de son fils et de son petit fils.

    La "salle du Mihrad" aux quatre colonnes de marbre, abrite surtout des tombes d'enfants.

    La "salle des trois niches" abrite les tombeaux des serviteurs.

    Le Mausolée situé au centre du jardin renferme le tombeau très vénéré de Lalla Messaouda, mère du "Doré".

     

    La Koutoubia

     

    Marrakech_la_koutoubia_mosquee.JPG (65932 octets)"Entrée interdite aux non musulmans". a été rénovée par l'UNESCO et classée Patrimoine Mondial

    Deuxième plus grande mosquée du Maroc construite au 12ème siècle, point de départ de toute l'histoire de Marrakech, elle en est également le symbole.

    Le minaret qui culmine à 70 m. sert d'emblème à la ville et de point de repère. Il est couronné de quatre boules de cuivre qui symbolisent le ciel, la terre et l'eau.

     

    Le Palais de la Bahia

     

    Marrakech_le_palais_de_la_bahia.JPG (59069 octets)Construit à la fin du 19ème siècle il arbore une façade simple et des murs plus hauts que les maisons environnantes afin de préserver l'intimité des habitants du palais. D'un agencement intérieur unique, il offre une succession de jardins d'agrément, de cours intérieures, de salles et d'appartements. Un dédale de couloirs et d'escaliers relient entre elles d'innombrables pièces de dimensions inégales.

     

    Le Quartier des Tanneurs

     

    Fes_les_tanneurs.JPG (88858 octets)

    Il s'étend à l'intérieur des remparts. On peut voir les diverses opérations du tannage, et les peaux étendues au soleil sur de la paille, près des cuves.

     

     

     

     

    La Fantasia

     

    fantasia.JPG (91414 octets)Spectacle Folklorique qui représente l'ardeur et l'habileté guerrière des cavaliers, tout de bruit et de tumulte ce spectacle rencontre un franc succès.

     

     

     

     

    CASABLANCA

     

    Casa_la_blanche.JPG (85609 octets)C'est la plus grande ville du Maghreb et la quatrième du continent africain, elle incarne le Maroc moderne.

     

    La Mosquée Hassan II

    Achevée en 1993, c'est l'une des plus vastes du monde, malgré son gigantisme elle semble se mirer dans les flots de l'Atlantique. L'entrée de celle-ci n'est pas accessible aux non musulmans.

    Casa la Blanche fut aussi la ville de Marcel Cerdan, il y fit ses débuts de boxeur et y remporta ses premières victoires.

     

     

    RABAT

     

    Rabat_ville_.JPG (72698 octets)Capitale administrative et politique est une ville aérée, coquette, ordonnée avec goût   

    Ses avenues plantées d'arbres et de fleurs, la profusion de ses jardins publics, la beauté de ses quartiers résidentiels en font un lieu de séjour agréable rehaussé par un patrimoine archéologique important.

    La Kasbah des Oudaïas

    sa création remonte au 10ème siècle et fut une garnisonRabat_la_porte_des_Oudaias.JPG (81821 octets)

    La nécropole de Chellah

    Rabat_la_porte_du_Chellah.JPG (80212 octets)Une forte impression de solitude plane sur ses murailles, ses ruines et ses tombes.

     

    Le Palais du Roi

    Plus de 2000 personnes y résident - Construit en 1864 il fut considérablement agrandi au cours des années

    Rabat_le_palais_royal.JPG (53849 octets)Sur la droite s'ouvre l'entrée principale du palais, grande porte monumentale de pierres jaunes, au toit de tuiles vernissées.

    Dans l'enceinte du Palais se répartissent des cours et patios autour desquels se trouvent : le Cabinet Royal, le Ministère de la maison royale et du Protocole et les services du premier ministre

    Face au Palais, en traversant l'esplanade dallée, s'élève la mosquée Ahi Fas.

     

     

    KENITRA

     

    Ville nouvelle créée en 1913 par les Français, à 40 km au nord de Rabat, elle fut connue sous le nom de Port Lyautey jusqu'en 1958.

    Moderne, agréablement agencée, son équipement hôtelier met à la portée du touriste d'agréables promenades dans les environs.

     

     

    VOLUBILIS

     

    Sur une colline, au milieu d'une plaine fertile, se dressent les ruines romaines, les plus étendues et les mieux préservées de tout le MarocVolubilis.JPG (77493 octets)

    La cité antique fut mise au jour à la fin du 19ème siècle, son intérêt réside dans ses nombreuses mosaïques très bien conservées.

     

     

    MOULAY IDRSS

     

    Moulay_Idriss_2.JPG (84575 octets)Uniquement peuplée de musulmans, la cité a conservé intact son caractère de ville religieuse islamique. Elle attire de nombreux visiteurs.

     

     

     

    MEKNES

     

    Meknes.JPG (70477 octets)Située sur le grand axe qui traverse le Maroc d'ouest en est, elle se trouve également au carrefour de la route de Tanger vers le moyen Atlas.

    La ville ancienne que l'on découvre de très loin, avec ses innombrables minarets, est bâtie sur une colline

    Bab El Mansour

    porte_bab_mansour.JPG (82982 octets)Gardienne de la ville impériale, la plus célèbre porte du Maroc surplombe de sa hauteur massive et de ses deux bastions à arcades la..

     

    Place El Hedim

    Coeur de la vieille ville, elle est située à la limite de la ville ancienne et de la cité impériale, une grande animation y règne et deux portes monumentales dominent la place.

    Greniers de Moulay Ismaïl

    On les appelle aussi "écuries" car ils pouvaient abriter jusqu'à 12 000 chevaux, ils servaient d'entrepôts.greniers_moulay_ismail.JPG (66735 octets)

    Il s'agit d'une unique salle comprenant 23 nefs et dont la hauteur devait être supérieure à 12 m.

    Tombeaux de Moulay Ismaïl

    Meknes_tombeau_Moulay_Ismail.JPG (80412 octets)C'est le seul sanctuaire du Maroc qui soit ouvert aux non-musulmans. On pénètre dans le mausolée par une porte très ouvragée,Meknes_porte_tombeau_Moulay_Ismail.JPG (65613 octets) décorée d'entrelacs et surmontée d'un auvent en tuiles vertes. Dans le sanctuaire on admire la salle ornée de stuc et de mosaïque où repose le sultan

     

     

    FES

     

    Fes.JPG (65196 octets)Plus ancienne ville impériale, elle est la métropole religieuse, intellectuelle et artistique du Maroc. Elle s'est développée autour de l'oued Fés, grâce à lui, l'eau ruisselle partout dans la ville, alimentant fontaines, maisons et jardins.

     

    Médersa Bou Unania

    Fes_porte_du_palais.JPG (50774 octets)Elle fut édifiée entre 1350 et 1357. Les stucs finement ciselés et les bois sculptés atteignent une quasi-perfection. La salle des prières est, contrairement à la tradition, flanquée d'un minaret.

    En face de l'entrée se trouve le bâtiment de l'horloge hydraulique à billes fabriquée en 1357

     

    La zaouia de Moulay Idriss II

    Rabat_mausolee_mohamed_V.JPG (63242 octets)Ce bâtiment carré, blanc, surmonté d'un toit de tuiles vertes, abrite la dépouille de Idriss II. Par l'une des trois baie, on  aperçoit la salle de prières, avec ses lustres innombrables et son étonnante collection d'horloges. Au fond le tombeau de Moulay Idriss, paré de bannières.

    Kissaria

    Là s'étalent à profusion les broderies de Fès, si réputées, les soieries, les brocarts, la passementerie et les babouches brodées.

     

     

    IFRANE

     

    Créée dans les années 1930, cette petite ville est une station d'altitude (1650 m.) agréable en toutes saisons.

     

     

    BENI MELLAL

     

    beni_mellal.JPG (23004 octets)Les sources abondent autour de la ville qu'enveloppent des plantations d'orangers et vastes bois d'oliviers, auxquels s'ajoutent des figuiers, des grenadiers, des abricotiers, des pêchers.

     

    Retour à Marrakech

    Le nord du Maroc a conservé de nombreuses traces de l'influence espagnole, les médinas ne sont semblables à aucune autre, affichant leur caractère andalou.

     

     

    LE SUD MAROCAIN

     

     

    Départ de Marrakech ville décrite dans le circuit des Villes Impériales.

     

    ESSAOUIRA

     

    Essaouira.JPG (52645 octets)Bâtie sur une presqu'île rocheuse, entourée de mimosas et de broussailles plantés pour fixer les dunes, l'ancienne "Mogador" possède un charme très particulier. Contraste surprenant entre les remparts de ton ocre et rosé qui rappellent ceux de St Malo, et les demeures de la Médina, blanches aux volets bleus qui évoquent un village grec.

    La vieille ville

    Rues rectilignes qui se coupent à angle droit constituent un cas unique au Maroc

    Le port

    Essaouira_port.JPG (49814 octets)Trafic peu important c'est surtout la pêche qui lui donne couleur et vie

     

     

    La porte de la Marine

    Essaouira_porte_de_la_marine.JPG (58612 octets)Elle date de 1769 et fait communiquer la ville et le port

     

     

    Nous longeons la côte de l'Océan Atlantique, à travers une plaine d'arganiers (arbres produisant des oranges amères utilisées en confitures uniquement) - attraction  typique : chevres_dans_arganiers.JPG (79875 octets) 

    les chèvres grimpent dans les arbres pour y manger les feuilles. (Ces arbres sont peu hauts et les branches traînent sur le sol).

     

     

     

    AGADIR

     

    A l'aube du 1er mars 1960, en moins de 15 minutes, la ville fut anéantie par un tremblement de terre : 15 000 morts, 20 000 sans abri, 3 650 immeubles détruits. La kasbah fut l'un des quartiers les plus touchés, rien n'a pu être sauvé des habitations et de la mosquée, seuls quelques pans de la muraille avaient résistés. On décida de reconstruire ces remparts, mais à l'intérieur les bulldozers aplanirent les décombres ensevelissant sur place des milliers de cadavres. Ce lieu est devenu un cimetière. On reconstruisit la ville à côté.Agadir.JPG (48698 octets)

    Agadir_plage.JPG (48049 octets)Ce grand centre balnéaire marocain, premier pôle touristique du royaume grâce à son climat, est un lieu de séjour, particulièrement commode, pour rayonner dans le sud ouest et vers le grand sud.

     

     

     

    TAROUDANT

     

    Taroudant_fortifications.JPG (55962 octets)Le "petit Marrakech" est encerclé par des murailles d'argile rouge, fut jadis un centre caravanier important. Ville réputée fière et frondeuse.

     

     

     

    TALIOUINE

     

    Tallouine_oasis.JPG (39395 octets)Cette petite ville située dans un cadre désertique de montagnesTallouine_desert.JPG (50776 octets) plissées où l'ocre de la terre se confond avec celle des bâtisses est connue pour son safran de la meilleure variété.

     

     

    Le safran (crocus sativus)

    Plante bulbeuse au sommet de laquelle partent des feuilles et deux ou trois pédoncules floraux. La fleur de couleur violette, comporte dans la partie allongée du pistil trois stigmates rouges et odorants qui constituent ce que l'on appelle le safran. Pour obtenir 1 kg de safran sec, il faut environ 100 000 fleurs.

     

     

    OUARZAZATE

     

    Le contraste est saisissant entre le haut AtlasHaut_atlas.JPG (33459 octets) avec ses reliefs grandioses, ses forêts, sa fraîcheur, et le vaste plateau désertique au sein duquel s'élève Ouarzazate. Avec ses maisons au crépi ocre et son allée centrale démesurément large,ouarzazate.JPG (39160 octets) la ville fut créée en 1928 comme garnison par le Français.

    ouarzazate_kasbah.JPG (45271 octets)Véritable ville fortifiée, elle dresse au-dessus de la vallée, un entassement de constructions de pisé, flanquées de tours carrées, percées de petites ouvertures et dentelées de créneaux.

     

    Après avoir longé pendant une vingtaine de kilomètres le lac de retenue du barrage El Mansour Eddahbi, la route pénètre dans la vallée des "Milles Kasbahs"la_vallee_de_draa.JPG (58730 octets)

     

    L'oasis de Skoura

    ouarzazate_oasis.JPG (52921 octets)vaste palmeraie parsemée de villages fortifiés protégés par de hautes murailles flanquées de tours de guet (ksour), et de citadelles élevées dans le passéouarzazate_demeure_cheik.JPG (49022 octets) par des chefs locaux (kasbahs) est particulièrement réputée pour ses cultures de roses.

    Les gorges du Dadès

    Dades_gorges.JPG (55860 octets)Le dadès, né sur le versant sud du haut Atlas, tranche la montagne à travers d'épaisses assises calcaires. Des gorges abruptes, hautes de 200 m. dominent le lit de l'oued et des canyons vertigineux coupent le souffle. Par endroit quelques villages se regroupent autour d'une oasis de verdure, antre les éboulements de roches rouges.

    La vallée du Dadès

    Dades_vallee_jpg.JPG (58787 octets)très peuplée, de nombreux châteaux forts se dressent au-dessus des villages et des jardins qu'ombragent noyers et peupliers. Les palmiers sont absents de ces oasis en raison du climat montagnard.

     

     

     

    TINERHIR

     

    Tinerhir.JPG (78217 octets)Oasis célèbre pour sa palmeraie et sa myriade de ksours et de kasbahs, elle est irriguée par l'oued Todra descendu du haut Atlas, elle est très dense en végétation.

    La ville, ancien poste militaire, est bâtie en terrasse autour d'une butte que dominent l'hôtel Sahro hotel_de_tinerhir.JPG (9503 octets) et l'ancien château tombé en ruines.

    Les gorges du Todra

    gorges_du_todra_entree_.JPG (53243 octets)Hautes de 300 m. mais larges seulement de 10 m. à l'endroit le plus étroit, elles constituent un site naturel où y coule une eau cristalline. L'escalade est pratiquée dans ces gorges. gorges_du_todra_2_.JPG (76774 octets)   gorges_du_todra_3_.JPG (66012 octets)

     

     

     

    ZAGORA

     

    Porte du Sahara

    Cette grosse bourgade est bien commode pour le touriste désireux de poursuivre son voyage plus loin vers le sud, elle est aussi le point de départ de randonnées chamelières.

    Elle ne présente pas grand intérêt, hormis le célèbre panneau indiquant :tombouctou.JPG (58899 octets)

    "TOMBOUCTOU A 52 JOURS A DOS DE CHAMEAU"

     

     

    TAMEGROUTE

     

    Bourg de terre rouge, situé au milieu d'une palmeraie et cerné de remparts crénelés est le siège de la ...

    Zaouia Nassiriya (centre religieux séculaire)

    Fondée au 17ème siècle, la bibliothèque renferme environ 4 000 manuscrits écrits à travers le monde islamique.

    Cette école coranique dispense des cours de médecine, d'astrologie et de droit coranique aux étudiants.

     

    Retour sur Ouarzazate et Marrakech

     

    En quittant Ouarzazate en aborde la "khélia" épaisse frange de plateaux arides souvent présente sur le flanc méridional de l'Atlas.

     

    TIZI N TICHKA

    col_du_Tichka.JPG (67471 octets)Ce col à 2 260 m. d'altitude est le plus haut col routier du Maroc, toujours balayé par un  vent violent. La vue s'étend sur une succession de chaînons, la terre rouge apparaît au milieu des buissons, la route suit le flanc de la montagne,col_du_Tichka_2_.JPG (42533 octets) passage dénudé de pierres sombres, vues sur les hauts sommets.

    route_ouarzazate_marrakech.JPG (51826 octets)Une descente rapide qui ménage de beaux points de vue, rejoint la vallée plantée d'oliviers et d'amandiers,  bien irriguée par l'oued Rdat.

    Nous traversons une région de cultures ( champs d'orge, de blé dur, de maïs, cultivés en terrasse) pour rejoindre :

     

     

    Marrakech.

     

    Une promenade en calèche dans la palmeraie est très bien venue.

     

    maroc_groupe_et_guide.JPG (64344 octets)

    Notre groupe de touristes

     

     

    De l'Atlantique au Sahara, ce circuit nous a fait découvrir les plus belles régions du Sud Marocain.

    Le dépaysement est au rendez-vous chaque jour : les couleurs des montagnes de l'Atlas, les oasis verdoyantes de la vallée du Drâa, les kasbahs ocre du Dadès.

    Ce Maroc des paysages est le complément indispensable des villes Impériales.

     





     
     


     

    taroudant

    05/07/2005 11:42

    taroudant


     

    Un homme de 32 ans, reconnu coupable des assassinats de neuf adolescents, a été condamné jeudi soir à la peine de mort par la cour criminelle d'Agadir, a-t-on appris vendredi de sources judiciaires. Aucune peine capitale n'a été exécutée au Maroc depuis 1993. La cour, composée de magistrats professionnels, a également condamné Abdelillah H. à verser un dirham symbolique à l'Observatoire national des droits de l'enfant (ONDE) et à l'Association marocaine des droits de l'homme (AMDH), parties civiles. Le condamné, qui peut former un pourvoi devant la cour suprême de Rabat, devra également indemniser les familles de victimes. Arrêté le 2 septembre, l'accusé, célibataire et «aide-gargottier» à la gare routière de Taroudant près d'Agadir (600 km au sud-est de Rabat), a reconnu avoir abusé sexuellement de ses victimes, des garçons de 13 à 16 ans, avant de les tuer et de les enterrer dans un terrain vague. La découverte de ces cadavres en août dernier avait entraîné une véritable psychose dans la région.
    Depuis
    1993, le Maroc observe un moratoire de fait sur l'exécution de la peine capitale, maintenue dans le code pénal pour de nombreux crimes et encore régulièrement prononcée par les tribunaux marocains.

    Ce que j'ai écrit sur le sujet en septembre :

    Charnier de Taroudant :

    Le présumé psychopathe pédophile intercepté,  mais l'affaire n'est pas close !

    Par cette matinée du lundi 5 septembre, comme à son habitude, Taroudant semble si calme derrière ses remparts séculaires. Il est 7H30 et la ville s'est déjà réveillée. Avant d'inviter ses visiteurs à percer le secret de son intimité, cette ville ocre les accueille dans la promiscuité bruyante de sa gare routière improvisée. Greffé devant l'une des principales portes de la ville (Bab Zarbane), cet espace anarchique ne dévide pas de jour comme de nuit. Les grands taxis de couleur grise et ceux de couleur vert foncé bariolé de jaune, se mêlent à d'imposants cars dont les courtiers racolent les passants dans un va et vient interminable. Au milieu de la foule, ce qui intrigue: la vue des enfants poussant sans peine des charrettes. Ces enfants à l'allure gaillarde sont nombreux à sillonner cet espace crasseux. Peu d'entre eux trouvent quoi transporter. D'autres enfants, vendeurs de chewing-gum, de cigarettes en détail ou de menus gadgets viennent de temps à autre leur tenir compagnie. Symboliquement, un policier rappelle par sa présence que la sécurité est assurée sur les lieux. Ici, quand on évoque la macabre découverte le 20 août des restes des huit cadavres trouvés jetés à l'autre bout de la ville, on obtient des réponses aussi brèves que nuancées: «Ce crime est étranger à Taroudant», «La police trouvera le ou les criminels», «Tout finira par se savoir»… En effet, tout se sait ou finit par se savoir au milieu des murailles imposantes de Taroudant qui, tel un écrin, semblent précieusement renfermer les secrets de ses habitants si discrets avec tout étranger.

    En entrant dans la ville, la même réserve à parler du charnier et de ce qui s'y rattache se fait sentir. Par exemple, la seule évocation de Oued El Waàr (l'oued difficile) répugne. On apprendra qu'historiquement cet oued a, à maintes reprises, inondé la ville lors des grandes crues. Sa dernière colère remonte à 1962. On le dit porteur de mauvaises nouvelles. Ce qui se confirma le 20 août, quand on découvrit dans le lit de ce même oued les ossements des huit cadavres.

    Rappel des faits

    Vendredi 20 août, dans la paisible ville de Taroudant, des passants ont fait aux premières heures de la journée deux macabres découvertes à quelque 500 mètres de distance. L'une près du lit de Oued Waâr et l'autre près du lotissement Hay Mohammedi à Bab Lekhmis. D'après un premier constat, il s'agissait des ossements de huit victimes comptées sur la base de huit crânes trouvés. A côtés d'une partie des ossements, il y avait deux moitiés d'un même corps. Une partie supérieure étêtée encore corsée dans un vêtement et une partie inférieure. Le tout était dans un état de décomposition avancé. Elément important: à côté du charnier, les policiers trouvèrent un papier portant cette inscription: «Je jure par Dieu que je me vengerai».

    Une fois les ossements transférés à l'institut médico-légal de Casablanca, leur analyse a permis de constater que la mort des huit victimes fut d'origine criminelle (existence de traces de torture, de ligatures…), que leur âge se situerait entre 11 et 15 ans (deux victime seraient âgées de 11 ans, cinq autres de 13 à 14 ans et une de 15 ans) et qu'elles étaient toutes de sexe masculin. Il a été également précisé que la date de la mort remonte à moins de trois mois pour l'une des victimes et entre six mois et trois ans pour les autres. Des prélèvements pour des tests ADN ont été par la suite pratiqués sur les ossements pour les comparer à l'ADN de quelques parents ayant déclaré la perte d'un enfant. Les résultats de ces tests n'ont pas encore été révélés.

    Il y a lieu de préciser que d'après leurs propres témoignages, plusieurs parents ayant perdu un enfant (la disparition soudaine et inexpliquée d'enfants semble être courante à Taroudant) ont vite fait de déclarer ces disparitions aux services de police. Ceux-ci sont pointés du doigt pour n'avoir jamais réservé de suite aux déclarations des parents concernés (voir témoignages).

    Moins de deux semaines après la découverte des ossements, de retour sur les lieux du charnier, Oued El Waàr est redevenu désert et calme comme si de rien n'était. Un calme trompeur…

    Les pistes d'investigation

    A propos de l'auteur ou des auteurs de ces odieux crimes, les supputations ont abondé. Il s'agirait d'un ou de pédophiles psychopathes sanguinaires qui abuserait (aient) sexuellement de leurs victimes avant de s'en débarrasser, supposent les uns. Avec l'hésitation qui accompagne habituellement la révélation d'une grave confidence, ceux-ci arguent mezza voce du fait que la pédophilie reste un fléau répandu dans la ville de Taroudant. En revanche, il s'agirait pour d'autres de fquihs-sorciers qui rechercheraient des trésors en s'aidant de mauvais esprits. Ils auraient besoin dans leur quête d'enfants «zouhris» (aux yeux bleus caractérisés par un léger strabisme, aux mains portant des traits retraçant certains chiffres arabes…) qu'ils immolent en offrande aux djinns. Pour d'autres encore, ces huit cadavres ne pouvaient être que ceux de victimes qui auraient été malencontreusement massacrées après avoir été enlevées pour servir de bergers dans le désert du grand Sud. Mais, une question récurrente semait le doute sur ces hypothèses: pourquoi les ossements ont été déterrés et jetés précisément un 20 août sur la voie publique?

    L'énigme résolue

    N'ayant négligé aucune piste, les éléments de la police judiciaire de Taroudant, aidés par la brigade criminelle relevant de la sûreté d'Agadir, n'ont pas tardé à résoudre l'énigme. Lors d'une réunion où ils discutaient les faits, l'un des enquêteurs aurait fait remarquer d'une manière anodine que sur le verso du papier sur lequel fut écrit le message trouvé près des ossements, on pouvait lire le mot suivant écrit en français: Hadi. C'est ainsi qu'on fit des rapprochements et l'enquête fut dirigée vers un sens unique: trouver la personne indiquée. Celle-ci était connue de la police pour ces quelques incartades. Appréhendé, le concerné avoua aussitôt ses crimes. Il serait l'auteur présumé du meurtre des huit victimes dont il aurait abusé sexuellement avant de les étouffer au moyen de sachets en plastique.

    Portrait du présumé coupable

    Le mis en cause répondant au nom de H.I était connu pour ses errances. Il est né en 1962. On le voyait surtout le soir près de la gare routière aider un vendeur de sandwichs. Il vivait depuis trois ans sur un terrain vague à la sortie de Taroudant. Après avoir avoué ses crimes qu'il limite à huit, le meurtrier a indiqué à la police le lieu où il avait initialement enterré ses victimes qu'il choisit parmi les nombreux enfants travaillant à la gare routière (quatre de ces victimes seraient de Taroudant, les quatre autres seraient d'ailleurs). Ce cimetière improvisé fait partie d'un terrain protégé par un mur, disposant d'une porte et dont le propriétaire habiterait Casablanca. Le meurtrier disposait de la clé de la porte d'accès à ce terrain qui se trouve à Jnane Soussia près du quartier dit Mhita. Il aurait été chargé par le propriétaire de veiller de temps à autre sur ce terrain. C'es en apprenant que le propriétaire du terrain allait venir utiliser ce terrain pour la construction d'une maison, qu'il se dépêcha, affolé, de jeter ailleurs les cadavres enterrés.

    Après ces révélations, le prévenu a été placé en garde à vue pour complément d'enquête sous la supervision du procureur général du Roi près la cour d'appel d'Agadir. Les prochains jours devront connaître l'achèvement de la procédure judiciaire au terme de laquelle il sera jugé.


    Témoignages

    Retrouver les demeures des familles dont un enfant a disparu ne fut pas une tâche facile. Toutes habitent dans des quartiers miséreux. Des quartiers qui se perdent le soir sous les ténèbres. Les enfants disparus ont des points communs: tous sont issus d'un milieu défavorisé, tous travaillent précocement, la plupart proviennent de familles nombreuses, la plupart ont vite abandonné l'école, certains parmi eux sont, selon leurs propres parents, «zouhris».

    Les parents des enfants disparus que nous avons pu rencontrer se disent tous doublement affligés. Ils déplorent la disparition inexpliquée d'un être cher et dénoncent le laxisme des autorités dont ils ont sollicité, en vain, l'aide. Témoignages :

     

    Naïma Lahmaz, mère adoptive de l'enfant Yassine Benamer

    Citant le nom d'un certain Saleh qui serait des services de police de Taroudant, Naïma Lahmaz, révèle qu'elle a été à chaque fois repoussée dès qu'elle venait confirmer et reconfirmer la disparition de son fils adoptif depuis le 16 février 2004. Son fils, d'après elle, pourrait avoir été entraîné loin de la ville par un faux guide. Celui-ci lui aurait même téléphoné pour lui dire qu'elle ne pouvait rien faire contre lui et que l'enfant disparu était à Agadir. Intercepté et interrogé lors du déroulement de l'enquête sur le charnier de Taroudant, l'accusé n'aurait aucun lien avec la disparition signalée. Cependant, il apparaît que ses liens avec des enfants disparus se seraient limités à son désir d'assouvir ses penchants sexuels pervers. Il a été présenté à la justice pour être poursuivi pour cela.

     

    Jamila Azgoud, grand-mère de l'enfant Saïd Idrissi

    Quand la famille a signalé la disparition de l'enfant, leurs déclarations ne furent pas pris au sérieux. Les policiers ayant pris leur déposition leur auraient tout de suite rétorqué que l'enfant disparu devait se compter parmi les «harragas» (émigrés clandestins). Aujourd'hui, le sort de cet enfant est encore inconnu. Sa grand-mère préfère croire qu'il est encore en vie… A noter que Saïd qui travaillait également comme porte-faix dans la gare routière, est, selon la description de sa grand-mère, zouhri.

     

    Bensaïd père de Noureddine Taji,

    Même en étant scolarisé, Noureddine Taji travaillait comme porte-faix, il avait une charrette. Il avait à peine 12 ans. Il avait six autres frères. Il a disparu le 1er août 2000. Sa disparition, selon son père, est intervenue deux ou trois jours après qu'un individu connu pour être originaire de doukkala ait demandé au père de lui confier son enfant auquel il dit avoir trouvé un bon poste de travail dans une ferme. Rapportés aux services de police au lendemain de la disparition, ces détails ne semblent pas avoir été pris au sérieux par les policiers, confie le père attristé. Surtout, dit-il, que ce fut le même individu qui lui montra la charrette abandonnée par l'enfant après sa disparition.  Par la suite, on ne revit plus cet individu. Bensaïd espère que son fils est encore en vie et qu'il va un jour le retrouver. Il déplore l'ironie par laquelle des policiers le repoussaient quand il allait quotidiennement, pendant deux ans, s'enquérir des nouvelles de son fils. Il s'agit en cette occurrence aussi d'un enfant «zouhri», selon ses parents.  

     

    Bouhouch Fatima, mère d'Ounil Youssef

    Le 15 juin 2002 Youssef venait à peine d'avoir 13 ans. Il était vêtu des nouveaux vêtements que venait de lui acheter son père. Ce dernier est vendeur de légumes. Cet enfant qui apprenait la couture traditionnelle, a abandonné l'école, trois ans après y avoir accédé. Sa mère a vite fait de déclarer sa disparition. A chaque fois qu'elle allait réclamer des nouvelles, on l'invitait à chaque fois à ne pas perdre espoir.

     

    Aït Amghar Hassan père de Aït Amghar Brahim

    Ce fut en 1983 que disparut Aït Amghar Brahim. Il avait alors à peine six ans. Ce fut lors d'une visite effectuée avec son oncle aux «chorfas» de zaouiat Nihite près de Tlate Idouzdoud qu'on perdit ses traces. Il jouait avec l'un de ses cousins, quand on le vit pour la dernière fois. Dans la même «kabila» où cet enfant a disparu, son père nous signala que l'on parle de la disparition de 13 autres enfants. Hassan affirme que son fils est zouhri.

     

    Pédophilie

    Un fléau répandu et ancien à Taroudant

    Le sujet est tabou et pourtant il ne laisse personne indifférent. Quand on pose la question sur l'étendue du phénomène de la pédophilie à Taroudant, personne n'essaie d'en contester l'existence. Certes, certains essaient de nuancer en soulignant que l'ampleur du fléau va en s'atténuant, d'autres prient pour la «guérison» des «mebliyine» (les patients) et d'autres encore s'en prennent aux touristes étrangers en les accusant d'être à l'origine du mal. Ces touristes éliraient domicile dans des riads construits sur les vestiges de maisons rachetées au prix fort. Ils auraient leurs propres entremetteurs, leur propre réseau.

    Le mal serait donc fait: à Taroudant les pédophiles séviraient en toute impunité. Déjà en entrant dans les toilettes de la gare routière, les messages qui sont écrits à la sauvette à l'arrière des portes évoquent la question. On y trouve des invitations avec le numéro de téléphone à appeler, des insultes des pédophiles, des dessins, voire des descriptions... (En appelant l'un des numéros écrits, nous entendions ce message: Cet abonné a restreint provisoirement ses appels et on peut bien comprendre qu'il mesure la gravité de la conjoncture).

    Malgré l'étendue que semble avoir la pédophilie, les Roudanais n'en font pas un débat passionné. Aucune association ni aucun parti politique ne s'est jamais mobilisé pour le faire. On entend parler de «cette belia» (ce vice), on en voit couramment certaines manifestations et on se tait. Personne à Taroudant ne veut avoir des démêlés avec les autorités (le Makhzen), affirme un jeune militant associatif. Surtout qu'il s'agit d'un phénomène vieux comme le temps. Pour preuve, cet extrait du carnet de route intitulé «Dans le grand Atlas marocain», écrit entre 1912-1916 par le Docteur Paul Chatinières du groupe sanitaire mobile de Marrakech:

    «… Un chleuh, bourgeois de Taroudant, pénétra dans ma petite salle avec des airs mystérieux; il conduisit un petit être entièrement voilé d'une étoffe blanche, que je pris d'abord pour une femme. L'homme demanda qu'on laissât seuls, puis soulevant le voile, il me présenta un jeune garçon d'une douzaine d'années, aux grands yeux noirs, au teint blanc, aux joues roses, joli et pomponné comme une fille de joie. C'était son préféré qui était atteint, hélas! De végétations malencontreusement situées (NDRL : dans le derrière de l'enfant). Sous le chloroforme, quelques coups de thermocautère eurent rapidement débarrassé le jeune garçon de son excroissance. Le visage du Taroudannais exprima une joie débordante, il m'embrassa alors les mains et l'épaule, me témoignant sa reconnaissance pour lui avoir rendu ce qu'il avait de plus cher au monde. (…) Les Soussi sont réputés de mœurs efféminées, visiblement et spontanément, ils cherchent à plaire. Suivant les coutumes du pays, les enfants ou les jeunes gens vêtus avec recherche prennent des pauses lascives avec des sourires provocants, accaparant l'attention des hommes… » 

    60 élèves des écoles françaises d'Abidjan rescolarisés au Maroc

     

    Mille trois cent élèves, sur un total de 3.900, des écoles françaises d'Abidjan détruites pendant les violences anti-françaises ont été rescolarisés en France et 1.570 élèves sont en cours de rescolarisation dans plusieurs pays, a annoncé vendredi le ministère français des Affaires étrangères. "Le dispositif des établissements conventionnés avec l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE) accueillait 3.900 élèves. 1.300 sont dès à présent rescolarisés en France et 1.570 sont en cours de rescolarisation dans des établissements de l'agence principalement situés dans la sous-région", a indiqué à la presse le porte-parole, Hervé Ladsous. Parmi ces 1.570 élèves, 500 sont admis au Sénégal, 230 au Ghana, 170 au Togo, 70 au Burkina Faso et 40 au Mali. Quatre cent cinquante seront scolarisés au Liban, 60 au Maroc et 50 en Tunisie.

    "Si certains élèves n'ont pu être localisés pour l'heure, la majorité de ceux encore présents sur le territoire ivoirien ont été accueillis dans des établissements homologués (dispensant un programme français validé par l'Education nationale française)", a précisé M. Ladsous. La quasi-totalité des établissements d'enseignement français conventionnés d'Abidjan, qui assuraient la scolarisation d'enfants de la maternelle au bac, ont été détruits au cours des violences anti-françaises du 6 au 9 novembre, menées par les partisans du président ivoirien Laurent Gbagbo.

    publié par marouane mabchour dans: Vidéos
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    Deux cas de rage de chevaux ont  été enregistrés dans la province de Taounate (centre-nord), lors  du déroulement en novembre d'une campagne de lutte contre la rage, indique mardi un communiqué de la province. Organisée par les services vétérinaires et de santé en  collaboration avec les autorités provinciales, cette campagne qui  s'inscrit dans le cadre d'un programme national de lutte contre la rage, a eu pour objectif de sensibiliser les habitants de Taounate à la prévention de cette maladie. A cette occasion, ajoute le communiqué, plus d'une trentaine  de personnes vivant en majorité dans le milieu rural, ont été  examinées et vaccinées et quatre autres ont été soignées. Environ 1 012 chiens ont été vaccinés au cours de cette année, dont 675 durant la dite campagne alors que 1 207 autres ont été  abattus par les services vétérinaires dont 119 récemment, souligne le communiqué.





     
     


     

    ronaldinho dans f c barcelone

    05/07/2005 11:10

    ronaldinho   dans f c barcelone


    Ronaldinho a déjà sur la table la spectaculaire offre de rénovation de contrat que lui a proposé le Barça pour vivre pratiquement sa carrière dans le club blaugrana. Comme a révélé le programme 'Força Barça ', la directive que préside Joan Laporta a proposé à Ronnie de prolonger son actuel contrat, qui terminait en 2008, jusqu'en 2014 ! ce pourquoi il aurait assuré son futur au Camp Nou jusqu'à ses 34ans.

    Ce contrat succulent ne termine pas ici puisque le Barça a inclus une clause additionnelle qui serait exécutée en 2014.

    La clause, en étant exécuté, permettrait à Ronaldinho d'avoir un contrat viager comme ambassadeur officiel du FC Barcelone. La quantité de ce futur contrat serait fixée dans la même année (2014) en fonction de la situation du marché de football en ce moment.

    Ronaldinho se transformerait alors le représentant du Barça dans des actes variés dans lesquels le club blaugrana exige sa présence. 'Ronnie 'serait la face visible du barcelonisme par tous les coins du monde.


    Cette proposition est trouvée maintenant entre les mains de Roberto Assís, celui qui avec Ronaldinho doit prendre une décision définitive. Le Barça lui a communiqué ses intentions et a tranquillisé de cette manière au joueur de football devant les offres qu'ils pourraient continuer à arriver.

    Avec ce contrat, Ronaldinho dépasserait les blindages qui ont été effectués à aux autres compagnons comme Xavi, Deco et Etó'o.

    Tous ont fixé avec le club l'extension de leur contrat jusqu'en 2010, tandis que le crack brésilien aura l'occasion de suivre par 4 saisons plus.

     

     





     
     

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